In a startling article, Daniel McCarthy, the admirable editor of The American Conservativemagazine (TAC), writes, “Successive British and American empires created and upheld the world order in which [classical] liberalism could flourish.” In other words, as he writes in “Why Liberalism Means Empire,” “Liberalism and empire reinforced one another in manifold ways.” Therefore, if we want an enduring liberal democratic society, we must acknowledge the necessity of a U.S.-enforced global empire. I say the article is startling because for years TAC has been the place to find solid critiques of George W. Bush/Barack Obama–style interventionist foreign policy. But this is a call for…

Eila vit ce soir là arriver la comtesse Fabiola l'air quelque peu étonnée: -Tu ne m'attendais pas à cette heure, n'est ce pas ? Fit son hôtesse. -En effet. Souriante, Falin dit: -Je voulais me rassurer et avoir le plaisir de converser avec toi. -Je vous en prie Fabiola, fit la jeune femme. Son visage s'était voilé. -Allons Eila, il faut savoir tourner une page et Abdel-Rafik est parti auréolé…

Nurit Peled est l’auteur du livre « Palestine dans les livres israéliens : idéologie et propagande dans l’éducation », publié récemment. Elle est également une des trois personnes, avec l’ambassadrice Leila Shahid et le regretté Ken Coates, à l’origine de l’initiative « Tribunal Russell sur la Palestine ». Au travers de son œuvre académique et de ses discours, Peled condamne la politique d’occupation israélienne et dévoile les mécanismes qui opèrent…

-Tu es en train de méditer, sans me dire toujours la cause de ton intérêt pour Tunald, fit son invité le baron. D'un ton concis, Freeman raconta les soucis que provoquait le cas de la Syrie et comment des pays comme Tunald peuvent être la prochaine cible d'un printemps des peuples. En quittant ce soir là, son ami le noble Britannique, Freeman passa à l'hôtel Waldorf Astoria. Le réceptionniste principal…

A Londres, la comtesse Fabiola Falin tressaillit en écoutant le nom de la personne qui l'a demandé au téléphone: -En êtes-vous sûr Diana ? Fit-elle à son assistante. -Tout à fait, répondit celle-ci. Prenant le récepteur, la comtesse fit de sa voix ferme alors que son assistante se retirait: -Bonjour Monsieur Freeman. -Bonjour madame la comtesse, j'espère ne pas vous déranger, commença Anthony. -Pas, du tout Excellence ! Comment allez-vous…