Chargé par Donald Trump de recevoir l'opposition Syrienne installé aux USA, Nour El-Kodssi écoutait les doléances de ces Syriens naturalisés pour la plupart Américains.

-La situation est intenable pour nos familles restés en Syrie, nous avons des parents à Idlib qui souffrent de la double emprise Turco-Kurde, sur le territoire du boucher Assad, c'est le désordre, chacun s'érige en porte- parole et les agents du Bâath marchandent avec eux, Madame, nous voulons une démocracie pas un pays en ruine et jusqu'ici l'administration Américaine  nous a fait des promesses mirobolantes mais sur le terrain rien. Déclarait le porte-parole de la communauté Syrienne.

-Bien, je voudrais vous rappeler un fait, en tant qu'Américain vos revendications ne recevront aucun écho auprès des autoritées sur place, il aurait été préférable dés le début de vous astreindre aux démonstrations pacifique, sit-in, grève et dialogue tout azimut. La démocracie pour le président Trump ne peut être imposé par la force, tous avons sous nos yeux le cas de l'Irak. Le meilleur message que vous pouvez transmettre à vos familles et parents restés là-bas est d'aller vers un dialogue responsable, de faire le tri entre les  différents clans de l'opposition et de cesser de compter sur un appui international. L'administration républicaine est réaliste, nous ne sommes pas des faiseurs de miracle, seuls les populations sur le terrain peuvent faire la différence et toute issue militaire au conflit est exlue de notre part.