Nous subissons à longueur d'années les dommages et dégâts occasionnés par une industrialisation à outrance et ces messieurs dirigeants font du tourisme à travers des réunions monstres et oublient leurs promesses et engagements envers le climat et la pla- nète dés qu'ils rentrent chez-soi.

Où en sommes-nous ?

A plafonner les restrictions et les réductions et tout le monde lorgne vers le voisin et fait des réclamations, pour la pratique c'est lui pas moi.

Une averse s'est muée en tempête, un vent s'est métarmophosé en ouragan et une pluie diluvienne en torrent de boue et de sable, un affaissement est devenue l'écroulement d'une partie d'une montagne, le dégel est à son paroxysme, les fontes de glace se font au quotidien et nous avons le toupet de nous réunir pour discuter et disserter et rien de concret sur le terrain.

La sécheresse est à nos portes, l'eau manque, les prix de l'énergie flambent et nous que faisons-nous ? A compter sur les organisations environementales ! Jusqu'à quand cet état de fait ?

Alors que le feu est dans la brousse et nos maisons s'enflamment l'une après l'autre et il n'est plus question de sauver la planète mais de survivre au chaos.

Les décisions disparates ne nous méneront pas loin et il s'agit d'urgence et pas de demain, nous verrons.

Au nord, c'est sauve qui peut.

Au sud, c'est chercher subsistance.

Deux mondes, deux lignes paralléles qui se souviennent l'un de l'autre au moment du déreglement climatique et c'est pourquoi, faire diligence en la matière et transformer les bonnes paroles en bonnes actions est plus que vital.