Steve Iron en arrivant à destination, prit directement la direction de l’aéroport. En une heure de vol, il arriva à Shinga.

Il devait rencontrer le juge Ivon, le lendemain matin. Il était presque minuit. Il dormit et se leva à l’aube, il revit le dossier pour lequel il était mandaté dans cette contrée du territoire de l’est.

A 7H trente, se présentaient  au restaurent de l’hôtel, les agents de protection de témoin du bureau annexe de l’organisation "Justice Internationale", ils étaient deux hommes.

Il donna ses ordres :

- Dés que je vous fait signe avec mon bip codé, vous venez. Vous prenez le témoin et voici vos billets d’avion, il ne doit refaire surface que si on vous fait signe, est-ce clair ?

James Keegan fit oui de la tête, lui et son compagnon se retirèrent.

Le juge Ivon arriva tôt à son bureau, son assistant à sa vue, fit le ton bref :

- Il est dans votre bureau depuis deux heures.

- Bien, et Steve Iron ?

- Il est en route.

- Faites-le entrer, sans l’annoncer, je vous prie.

- Bien monsieur.

Iron en pénétrant une vingtaine de minute plus tard dans le vaste bureau du juge Ivon, fut chaleureusement accueillit. Il avait requis une notoriété certaine auprès de ses pairs, il était le juge des dossiers suicide comme on décrivaient les affaires des violations des droits de l’homme par les états.

Ivon échangeant avec lui de court parole, réalisa que l’homme semblait plus que jamais renfermé.

- Harald, rendez-moi un service je vous prie.

- Bien sûr, allez-y.

- Je vais vous laisser une demande de congé urgente d’une semaine. Elle doit parvenir au patron au siège, ne me demandez pas d’autres détails.

- Bien, ce sera fait.

- Je suis prêt, ajouta Iron. D’une pression du doigt sur un bouton, une personne fut introduite en leur présence. La séance de travail commença, elle s’annonçait très dure pour le témoin.