قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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لنكتب أحرفا من النور،quot لنستخرج كنوزا من المعرفة و الإبداع و العلم و الأفكار

Tuesday, 01 December 2015 06:17

Vous êtes un voleur Mr le président 5

Written by  Afaf Aniba
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-          Raccrochant, elle travailla pendant l’heure suivante. Al Kemby vint lui parler à huit heures et demi accompagné de l’attaché militaire Américain, le lieutenant-colonel Ian Eagle, leurs mines étaient grave :

-          - Je viens d’apprendre le coup bas de nos alliés Israéliens Khorfaï, mais pourquoi ne m’avez-vous rien dit ? Je suis supposé être le premier informé. Fit le premier.

-          -Je devais être sûre d’abord du fait avant d’en parler et au regard de la situation,  le department of state n’a aucun pouvoir de décision. Vous savez très bien qu’un pareil fait est du ressort exclusif du Conseil de sécurité National.

-          -Bien, finit par dire le haut diplomate Américain. Le lieutenant-colonel Ian Eagle,  notre attaché militaire à Gaza voulait vous féliciter pour votre excellent travail Khorfaï, il est en train de consulter ses supérieurs au Pentagone, s’il devrait vous accompagner lors de votre entrevue avec Kayssar.

-         

-          Ian Eagle la salua du salut militaire, elle le lui rendit, l’air détaché :

-          -Je n’ai fait que mon devoir mon lieutenant-colonel, lui dit-elle et je ne voudrais pas que vous m’accompagner, Jim Gray est capable de me protéger et j’ai besoin d’être seule avec Kayssar, je vais faire mon possible pour le pousser dans ses derniers retranchements, en votre présence, il ne parlera pas.

-          -Miss Khorfaï, je vais accéder à votre demande à une condition. Lui répondit le lieutenant-colonel.

-          -Laquelle ?

-          - Vous devez nous rapporter le contenu de votre conversation avec lui enregistré et bien entendu nous renforcerons la sécurité autour de vous mais de façon que nos agents soient invisibles.

-          -C’est ok. Lui répondit-elle.

-         

-           -J’imagine la tête des responsables Israéliens, leur taupe découverte, ils vont négocier très dur avec nous. Déclara Kemby.

-          La jeune femme s’abstint de tout commentaire.

-          Kemby reprit mécontent :

-          - Pourquoi diable le BOS du premier ministère israélien a t-il agit ainsi ? C’est payer d’audace que de se passer de notre feu vert !

-- De grâce, je n’ai pas du tout envie de parler de cela. Fit la jeune femme.

-- Je comprends.

-- Non, vous ne comprenez pas Kemby. Fit-elle froidement.

-          Saisi, il la dévisagea voulant s’expliquer cette repartie sèche. Il dut y renoncer devant l’expression impénétrable de Amal.

-         

-          Le lieutenant -colonel Ian Eagle intervint le ton calme :

-          -Le mal est fait Al ! Ce à quoi nous devrions parer, c’est le désastre de l’écroulement des négociations en cours et quelle suite nous donnerons  à cette affaire de corruption auprès des Palestiniens.

-          Kemby  retorqua le ton préoccupé :

-          -Justement, le secrétaire d’état va m’en parler dans moins de vingt minutes, Khorfaï avez-vous une recommandation à faire que je lui transmettrai  ?

-          Relevant la tête, elle dit :

-          - A mon avis, le côté Palestinien doit être mis au courant de ce dossier de corruption sans qu’il ne soit nécessaire qu’on leur dise quel est le véritable rôle de Kayssar, car ils vont le découvrir tôt ou tard si leur parlement ordonnera une enquête approfondie.

-Parce que vous croyez que les corrompus du gouvernement Palestinien vont laisser agir les députés honnêtes pour aller au fond des choses dans cette affaire ?

-Non, je ne le crois pas. Mais franchement messieurs, ces Palestiniens et responsables Arabes sont condamnés à se sauver sans nous, pourquoi c'est à nous de faire du sang d'encre pour leur sort. Fit le ton impitoyable Khorfaï.

Eagle fit remarquer :

-Khorfaï vous avez tort ! les Palestiniens  ne sont pas tous corrompus, il y en a parmi eux des gens honnêtes et ils méritent d'avoir leur état.

La jeune femme répondit:

-Je respecte votre opinion, mon lieutenant-colonel ! mais moi je suis une américaine qui ne croit pas du tout au processus de paix entre israélien et palestinien, nos alliés de Tel-Aviv ne vont jamais lâcher la moindre parcelle de la terre de Jerusalem ni d'autres arpents de la Palestine, nous sommes en train de perdre notre argent et nous mettons en danger nos intérêts à vouloir à tout prix une paix et deux états côte à côte.

Les deux hommes la dévisagérent ahuris:

-Mais alors selon vous Khorfaï, quelle est la solution au Moyen-Orient ?

-C'est simple, il n y a aucune solution ! Que notre administration se désengage du processus de paix et qu'on laisse face à face palestinien arabe et israélien, qu'ils réglent leurs problèmes entre eux. Pourquoi devrions-nous chercher à tout prix une solution à un problème qui ne nous menace pas et qui ne nous concerne pas ? Mais ce n'est que mon opinion, et je dois obéir aux   ordres que je vais réceptionner tantôt de Cold et de notre secrétaire d'état,

-          et dés mon retour de Tel-Aviv inshâallah, j’aviserais avec vous du plan qu’on devrait appliquer à la lettre pour récupérer notre argent, messieurs ne perdons pas de vue l'argent que nous ont volés nos alliés de Tel-Aviv, fit-elle en se levant et en fermant son lap-top. J’ai à présent un rendez-vous avec le président Palestinien et il est aussi décisif que celui qui va me réunir avec Kayssar, je vous laisse au revoir.

Après le départ de Khorfaï, Kemby et le lieutenant-colonel Ian Eagle se regardèrent :

-Que dis-tu du raisonnement de Khorfaï ? S'enquit Kemby.

Le militaire américain gradé répondit avec un sourire :

- Khorfaï mérite d'être au sénat et si elle se présenterait aux élections présidentielles, je voterais pour elle.

Kemby eut un rire :

Il est vrai que c'est une femme plus que remarquable.

Graves le corrigea :

-Dis plutôt que c'est une politicienne rigoureusement honnête.

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