
-Qu’est ce qu’il y a de bizarre dans cette phrase ? Fit l’air interrogateur Samrâa.
Tout testament commence par la formule habituelle,” Une fois mort, je voudrais léguer ceci et ceci à et à…”Il a utilisé le mot disparaître et non pas mort et puis fait très troublant, il n’a pas de tombe et j’ai agi rapidement dés la réception du document posthume. J’ai alerté votre père défunt j’avais très peu de marge pour pouvoir enquêter plus sur les circonstances de la disparition de ce cousin.
Marquant une pause, le notaire reprit son souffle, suspendus à ses lèvres le frère et la soeur attendait la suite :
-Une fois votre père mort, j’ai récupéré les clefs et comme la maison était situé isolé sur un promontoire rocheux au bord de la mer j’ai tenté de savoir si dans les alentours immédiats on connaissait votre cousin, la réponse que j’ai eu a été plus que stupéfiante : Personne ne connaissait de vue cet homme, il vivait en ermite et son approvisionnement se faisait par commande par appel et à chaque fois on lui faisait des livraisons, on trouvait l’argent dans un coin de rebord d’une fenêtre de l’avant dans un plat creux et puis brusquement les commandes ont cessés et plus personne n’est venu apporter quoi que ce soit à votre cousin.
Wael lança un regard perpelxe à sa soeur :
-Est-ce que nous avez tout dit sur le contenu de son testament et est-ce qu’on peut obtenir une copie dudit document ?
-Oui, pour ce qui est du contenu, il y a une exigence plus étrange les clefs de la maison doivent être enterrés à l’arrière de la maison près de la fenêtre de la cuisine et barrez la route menant à la maison.
-Vous même avez-vous visiter la maison ?