Karachi-Pakistan le 12/12/2024
Adam Jill Khan était assis dans son vaste bureau au 46 étages de la tour qu’il avait construit pour en faire le siège de son conglomérat dans la ville portuaire du Pakistan, Karachi.
Il était seul. Il écoutait le bombardement massif de la banlieue sud de Beyrouth capitale du Liban par l’aviation sioniste.
Immobile, il mesurait l’intensité du bombardement. Un long moment s’écoula puis il décida de communiquer par code avec son ami d’enfance l’Irlandais Kevin O’Sulvan.
Deux jours plus tard, Adam Jill Khan débarquait à Djakarta en Indonésie et se dirigea droit avec une voiture loué vers la résidence qu’il possédait dans une région isolée de l’île de Sumatra. La maison était sur la côte avec une plage privée.
Quelques heures plus tard, il recevait Kevin O’Sulvan.
Adam Jill Khan était un citoyen Pakistato-Irlandais, né de parents Pakistanais ayant immigrés en Irlande plus d’un demi-siècle auparavant.
Né à Dublin dans le quartier Géorgien, il avait eu pour voisin la famille de Kevin O’Sulvan. Les deux garçons s’étaient liés d’amitié dés leurs sept ans et aujourd’hui à l’âge de 39-40 ans ils se considéraient comme deux frères. Tous deux avaient réussis dans leurs vies professionnelles et avaient fondé des entreprises dans le domaine de la pétrochimie et pharmaceutique qui les avaient propulsés au rang de milliardaire en l’espace de 15 ans de vie professionnelle intense. Adam avait préféré après la mort de ses parents et en tant que fils unique de revenir au Pakistan son pays d’origine, s’y installer et y investir et grâce à son intelligence, à sa parfaite connaissance des rouages de l’économie Pakistanaise, il constituait avec son conglomérat un plus pour le Pakistan.
S’asseyant sur le front de mer les deux hommes contemplèrent longuement l’océan Indien puis la voix claire de Adam Jill Khan s’éleva :
-Te rappelles-tu cette phrase de Adolf Eichman mentionné dans ses mémoires interdits qu’on a lu durant notre adolescence, cette phrase qui nous a marqué ?
-Oui, je la cite : Quand on veut tuer sans tuer, il n y a qu’une seule méthode : donner l’envie de la mort au supplicié. Répondit Kevin.
Le silence se fit qui s’emplit du bruit des vagues qui retombaient au pied de la dune.
-Nous n’avons pas les moyens de déloger de la terre sainte la Palestine, les sionistes mais nous pouvons les faire souffrir jusqu’à leur donner l’envie de la mort sans toutefois mourir, n’est-ce pas ?
-Oui et nous devons agir dans ce sens.
-Eh bien ! Inshâallah, nous allons le faire.