La guerre du Jour du Jugement 3 et fin

Qodss-Jerusalem 25 février 2025

Lieu :

Cabinet de crise de l’entité terroriste Sioniste

Le premier ministre Ehud Ekhod écoutait le rapport du ministre de la santé :

-L’eau potable dans tout Israël a été contaminé par un agent bactériologique d’une immense dangerosité et comme vous le savez nous avons sur les bras plus de trois millions et sept cent mille et vingt-trois israéliens empoisonnés, nos hôpitaux et cliniques sont submergés par le nombre de patient en état de mort clinique, le poison  a détruit leurs entrailles et leur souffrance est indescriptible, c’est pourquoi je préconise d’abréger leur souffrance et de les euthanasier….

Interrompant sec, le premier ministre sioniste s’exclama :

-Es-tu fou ? Tu veux tuer plus de 3 millions de nos citoyens ? Hors de question, nous avons le pouvoir de les maintenir en vie et les progrès de la médecine peuvent réparer l’irréparable à mon avis.

Se tournant vers le ministre de la défense et les chefs des différents services de renseignement, il demanda :

-Et maintenant je veux une réponse claire : Avez-vous identifié l’ennemi qui a empoisonné l’eau potable ?

-Non et…

En colère, Ehud Ekhod déclara :

-Je ne veux pas de non, je veux savoir qui est l’ennemi, comprenez que connaitre l’ennemi assure notre survie,  sans identification claire pour son éradication nous sommes menacés dans notre existence.

-Nous faisons tout pour le savoir, les analyses de l’eau potable nous ont prouvés que la contamination s’est faite depuis deux semaines, depuis l’ennemi a eu largement le temps d’effacer toute trace nous menant à lui, ce qui importe pour nous est de trouver une solution à la situation présente. Notre capacité à importer de l’eau est limité et décontaminer l’eau nécessite une durée de temps très longue, expliqua le ministre de la défense.

Le ministre de la santé le ton cynique :

-Ehud la médecine jusqu’ici n’a pas encore réussi à fabriquer foie, coeur, poumons, le cerveau et le squelette et donc nous devons trouver une solution à une charge de patient mort cliniquement, les biens portants doivent être bien soignés et notre secteur sanitaire est au bord de l’asphyxie.

Un silence de mort tomba sur le groupe réduit.