A l'occasion du déclenchement de la guerre de libération de la Palestine et en l'honneur des résistants armés Palestiniens, nous republions l'épisode 1 de Gaza Mission An 45 qui est resté incomplet et inshâllah je comencerais à publier le reste des épisodes jusqu'à la fin. Gloire à la guerre de libération armée de la Palestine toute la Palestine.
Lorsque Mirna Heibolt arriva à l'aéroport de Tel-Aviv en Palestine occupé accompagnée de
Carl Delwine, les Israéliens ont vus en elle, une grande actionnaire de la multinationale Sienleis escorté de son plus proche collaborateur en voyage d'affaires.
Alors que c'était tout le contraire, Mirna était l'unique collaboratrice très proche de son patron qui était Carl Delwine et leurs passeports Américains étaient de faux passeports.
Les partenaires d'affaires qu'ils rencontrèrent n'eurent aucun soupçon quant à l'identité de Mirna, elle agissait en toute quiétude négociait contrat et partenariat en véritable femme d'affaire. Et leur entourage Israélien avait bien remarqué qu'un lien étroit liait Mirna à Carl mais personne ne poussa loin sa curiosité.
Un matin, traversant sa suite, Carl frappa à la porte de communication de Mirna, elle lui ouvrit. Il apprécia sa mise, elle était déjà habillée pour sortir avec ses cheveux claires virant vers la blondeur et le bleu gris de ses yeux avec un visage délicat sans maquillage, Carl remarquait à chaque fois combien la jeune femme conservait une fraîcheur d'apparence qui lui seyait à merveille.
-Es-tu prête ?
-Oui, lui répondit-elle.
Ils quittèrent l'hôtel dans un taxi, au lieu de louer une voiture Carl avait préféré faire appel à un moyen de locomotion plus banal, leur chauffeur les emmena vers un lieu historique de Tel-Aviv et pourtant près de ce lieu, trônait le Knesset. Là, le large chapeau de Mirna muni d'une caméra hyperplate brodé sur le ruban qui le cernait, ils filmèrent de très près le lieu de réunion des représentants de l'occupant Israélien.
Carl mine de rien discutait en Gaëlique avec Mirna.
-Tu te souviens quand je t'ai révélé mon secret et que je t'ai dit que si tu me suis dans cette opération il est probable qu'on ne s'en sortiras pas vivant.
-Oui, je m'en souviens, fit-elle simplement.
Il la regarda dans les yeux, lui exprimant sa gratitude profonde.
Elle lui sourit puis de sa voix chantante, elle fit :
-Carl en se mariant, on a bien fait le sermon uni pour le meilleur et pour le pire, n'est-ce pas ?
Il se mit à rire, comprenant le sens de sa question.