Dans un coin, je lisais et relisais un ouvrage au titre révélateur "La société du coût marginal zéro", il y a un mot qui a une consonnance particulière "Share" partager.

Dans un monde  qui se replie sur lui-même, partager a une signification très symbolique. Sommes-nous capable de vivre en veillant à une consommation raisonnable, à penser à nous au lieu de moi ?

Un des défis majeurs du siècle pouvoir juguler la détérioration climatique et la problématique de la raréfaction des ressources naturelles comme l'eau et réduire les risques de guerre nucléaire. Nous sommes en plein dedans un système qui nous a démuni autant qu'il nous a enrichi, jour et nuit des réfugiés sont jetés sur la route de l'exil. Jour et nuit la couche d'ozone s'évanouit à vue d'oeil, jour et nuit plus d'un milliards de personne vivent l'invivable, sommes-nous vraiment conscient de ce qu'implique le mot partager ?

Dans un monde inégalitaire, ce sont les plus faibles, les plus pauvres qui ont besoin de plus de solidarité, de plus d'aide, de plus d'investissement et ce n'est pas seulement l'investissement matériel, considérer l'être humain comme le meilleur investissement est un grand pas envers une société homogène, respectable de la dignité humaine.

Pouvoir partager biens et opportunité peut fouetter positivement le développement à une grande échelle. L'indice de développement ne doit pas être mesuré seulement au produit brut intérieur, en faisant du verbe partager un axiome du bien-être social et économique est une contribution certaine à la prospérité et à la stabilité générale.

Je rappelle que l'altruisme n'est nullement négliger soi-même bien au contraire, faire le bien, c'est aider soi-même.