قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الخميس, 26 تموز/يوليو 2012 10:52

Aldjazaïr Frankfurt Washington X

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Dehors sur le trottoir de l’aéroport Dulles la température était clémente pour un 11 novembre 2006 !

 

 Le délégué Libyen narrait comment il avait été invité à ce programme et comment il avait peu apprécié la procédure suivie par le bureau Américain à Tripoli et l’ambassade Américaine à Tunis :

 


 Vu les relations excécrables entre nous et l’administration Américaine, j’ai dû faire un déplacement à Tunis et je n’ai eu droit à la liste des participants à ce programme que par l’entremise de Abou Youssef tout à l’heure, me disait-il. »

J'écoutais en silence attendant l’arrivée du quatre quatre conduit par le Palestinien Arménien et loué pour la circonstance.

Une fois à bord et les bagages chargés, je concentrai mon attention sur l’environnement immédiat. On roulaient bientôt dans une autoroute et la voix grave du Dr E me parvint assourdi, la réponse de Abou Youssef ne tarda pas :

-Voyez le côté positif je vous prie Dr, vous êtes en Amérique chose que peu de Libyens aussi érudits que vous n’ont pas la chance de la connaître !

 J’avais l’esprit à cent lieux, en quoi me regardait l’attitude enfonsé du délégué Libyen ! Je remarquais le traffic, pour un samedi début du week-end Américain, la capitale fédérale ne chômait pas.

La chose qui me ravit quand on approcha du cœur de la ville, c’est les espaces verts, ils étaient légions ! Et le cadre ancien de l’architecture, Washington par la suite sera ma ville Américaine préférée entre toutes celles que j’ai visitée!

Le temps doux me fit sourire, j’avais le bras encombré du manteau épais que j’avais amené avec moi depuis Aldjazaïr !

-Demain, il fera moins beau, la météo a prédit la pluie, fit à cet instant notre interprète Palestinien.

Pluie ou soleil, l’essentiel pour moi j’étais dans la place enfin. En plein cœur de cette capitale au pouvoir maléfique, celui-là même qui a transformé la vie de Palestiniens, Libanais, Irakiens, Iraniens en enfer quotidien !

Etrangement, j’évoquais la voix de mon amie d’enfance Dhaya « L’Amérique humainement et du point de vue progrès a tant donnée au monde mais en parallèle, cet Amérique a détruit le monde enchanteur qu’elle a crée à force de convoitise de cupidité de rapacité et d’arrogance. »

Je me souvenais de son autre phrase : « A travers toi, Afaf j’ai appris à voir autrement le pays des Sioux. Tu as travaillée d’arrache pied sur un thème franchement difficile et pourtant comme tu me l’as dit si souvent « l’Amérique est le pays qui a tant fait rêver et tant fait pleurer… »

Le véhicule Américain, abordait bientôt les grandes avenues fleuries de Washington, nous atteignîmes ainsi l’hôtel Beacon à une heure avancée.

En descendant, et en suivant Abou Youssef à l’intérieur, je m’arrêtai non loin de lui devant la réception. Il Y avait là une jeune femme qui cherchait nos noms pour s’assurer que nous étions bien inscrits sur la liste des visiteurs qui ont réservés à l’avance leurs chambres. La chose vérifiée, elle nous donna les cartes magnétiques avec un papier à signer, le Check In. Ce que je fis volontiers et je le lui rendis, elle me gratifia d’un sourire et d’un joli « Welcome. »

Connaissant mon étage et le n° de chambre, je me dirigeai vers l’ascenseur en saluant brièvement le délégué Libyen. Abou Youssef me suivit en m’annonçant :

-J’ai oublié de vous dire que sur la recommandation expresse de madame Sara la seconde interprète du groupe, elle m’a chargé de vous dire «  Qu’elle s’excuse de ne pas vous voir dés votre arrivée et qu’elle sera ravie de prendre le petit déjeuner avec vous demain matin. »

-Madame Sara, ai-je répété un peu étonnée.

-Oui, elle n’a pas pu être avec moi tout à l’heure à l’aéroport parce qu’elle est allée chercher de son côté les délégués Koweitiens et Jordaniens. M’expliqua le Palestinien.

Je hochais la tête machinalement, la porte automatique de l’ascenseur s’écarta, je pénétrai à l’intérieur avec mes valises. En appuyant sur le n° d’étage, je remerciai le Palestinien en concluant :

-A demain In Shâa Allah.

Sara était une Tunisienne vivant aux Usa et qui collaborait avec le department of state. Ils faisaient appel à elle quand ils avaient besoin d’interprète pour des programmes comme Interfaith dialogue, c’était tout ce que je savais d’elle et le faite de m’envoyer ce message très poli avec son collègue Palestinien dénotait sa haute éducation.

En pénétrant dans ma chambre, je poussais devant moi les valises, mit la grande sur un banc et l’autre petite dans un coin. J’allais ensuite aux rideaux et les tirait. Dehors, il faisait presque nuit, en refermant les stores, je me tournais vers le vaste lit.

Ouf, maintenant je peux dormir tout mon saoûl, je suis désormais sur la terre ferme et avec zéro bruit.

Tombant de sommeil, je me couchais aussitôt, en m’éveillant trois heures plus tard.

Je réalisais que j'avais rater le dîner et je m'étais mise à réfléchir au moyen de manger.Appelant Abou Youssef, il me conseilla de sortir:

Il y a une grande rue à droite de l’hôtel que vous pouvez prendre, là vous trouverez sûrement un supermarché ouvert. L’argent que vous avez, est-il suffisant pour vos emplettes ? :

-Oui merci.

-Voulez-vous que je vous accompagne ?

-Non, merci. Je m’en sortirai seule puisque le supermarché est proche. Je veux savoir une seule chose, quelle heure est-il ? Je dois régler ma montre ?

-Huit heures et demie du soir.

-Bien merci.

Je comptais les dollars qui me restaient, quarante, c’était suffisant à mon avis. J’allais acheter juste du pain, du jus d’orange et des fruits.

 

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عفــــاف عنيبـــــة

أديبة روائية إسلامية أحرر ركنا قارا في الصحافة المستقلة منذ 1994 في الصحف التالية: أسبوعية الوجه الآخر، الحقيقة، العالم السياسي، كواليس و أخيرا البصائر لسان "حال جمعية العلماء المسلمين الجزائريين."

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