قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الإثنين, 05 كانون1/ديسمبر 2011 10:04

New York Ground Zero IV

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 Notre chauffeur décida de nous emmener déjeuner au restaurant d’une dame Syrienne, situé non loin du lycée Annour, ainsi on ne perdra pas trop de temps en cours de route.

Assise, je voyais défiler à ma fenêtre  des images de carte postale, notre passage devant le gratte-ciel des Nations -Unis fut très court. Que voir sinon des agents de sécurité avec les limousines des différentes délégations et des passants pressés de fuir l’averse de pluie, de fine bruine le ciel déversait des cordes d’eau.

Une fois de plus, je me rapportais à mes notes et je relisais un summary sur le lycée en question. Au restaurent Syrien, sa propriétaire nous fit un très bon accueil, nous réservant une table de choix et en pressant les garçons à nous servir en premier. J’eu droit aux plats Syriens si bien mitonné et la salade Attaboula.

Pendant quelques minutes on oublirent  la raison de notre présence sur le sol Américain et on évoqua  avec plaisir les joyaux  du Châam et ses traditions ancestrales.

Mais c’était si court, on devaient reprendre nos rôles sitôt sortis de l’endroit. A nouveau dans le bus, je constatai que ma carte mobile était périmée. Touchant un mot à Sara, elle me promit qu’au sortir du lycée, on ira dans une boutique renouveler nos cartes.

-Nous sommes à Brooklyn, annonça le traducteur Palestinien. Tout de suite, j’accordai toute mon attention aux alentours, c’est ici qu’a vue le jour le président John Fitzgerald Kennedy, par la suite je dois préciser à mes honorables lecteurs, je sus que John Kennedy était né à Brookline à Boston et corrigeai mon erreur. Chose inattendue, ce n’était pas un quartier huppé !

 

  La grisaille du ciel rejaillissait sur l’architecture de cette partie de Manhattan. La couleur des bâtiments terne, les magasin avaient l’air de boutique étroite. Je n’ai pas vu d’espace vert, bien que les rues étaient plus animées. Entre la quatrième avenue et la vingtième rue s’élevait le lycée Annour.

Nous étions à l’heure, nous devions être devant la porte du lycée à deux heures de l’après-midi. A notre arrivée, les élèves étaient rassemblés pour la prière del Thôor, une occasion pour nous de l’accomplir.

Le principal de l’école Islamique Mr Mutasim d’origine Soudanaise nous accueillit chaleureusement, nous recevant dans son bureau encombré de carton et de grand pot de plante verte, avec la rituelle série de classeur. Le staff de Annour secondary school très sympathique nous consacra une bonne heure de son temps précieux. Debbie Almontasser très populaire chez les élèves nous raconta comment elle avait réussie à s’imposer dans un milieu supposé être très ouvert. Femme de tête et ayant acquis une grande expérience dans l’éducation communautaire, elle avait percée dans le domaine. Choisie par la mairie de New York pour être l’interlocutrice de choix des Musulmans à la recherche d’une place sous le soleil de New York, elle fait figure de modèle et en tant que coordinatrice des programmes extérieurs pour les écoles publics de Brooklyne, elle travaille avec un rare dévouement.

Et travaillant aussi comme consultante pour bon nombre d’organisme, d’organisation et de fondation entre autre The Muslim communities project Conlumbia university, the Interfaith center of New York. En sa compagnie nous fîmes la connaissance d’une classe de secondaire à Annour School, c’était une classe de jeune adolescente, la mixité n’était pas permise dans l’établissement. J’étais désireuse d’écouter ces jeunes filles, vêtu du hidjab, elles prirent la parole à tour de rôle. Leur professeur fit une introduction qui nous donna une idée du niveau de cette classe et des milieux divers d’où provenaient ses élèves.

 La chose qui me frappa d’entrée, c’était l’handicap de la langue, pour la plupart d’origine Arabe, ces élèves ne parlaient pas couramment l’Arabe.

Elles se reconnaissaient plus en musulmane  Américaine que comme des musulmanes de nationalités Arabe diverses.

Elles avaient vécu les retombées du 11 septembre et la vague de racisme avec beaucoup de philosophie, profitant de l’occasion pour donner une meilleure compréhension de l’Islam.

Pour leurs pays d’origine, elles ne se sentaient  pas concernés par le devenir de leur patrie, bien qu’elles étaient prêtes à aider si l’opportunité se présentait.

D’être une composante de la société Américaine, les motivaient assez pour redoubler d’effort afin de concrétiser une intégration plus responsable.

 

 
قراءة 2680 مرات آخر تعديل على الأحد, 21 حزيران/يونيو 2015 18:05
عفــــاف عنيبـــــة

أديبة روائية إسلامية أحرر ركنا قارا في الصحافة المستقلة منذ 1994 في الصحف التالية: أسبوعية الوجه الآخر، الحقيقة، العالم السياسي، كواليس و أخيرا البصائر لسان "حال جمعية العلماء المسلمين الجزائريين."

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