Ludwig suivait attentivement les tentatives de contrôle de l'arsenal nucléaire Israélien. Toutes les équipes chargés de cette mission dangereuse étaient infiltrés malgré elle par des élements qui lui rendaient un rapport fidèle des mesures entreprises. Ce qui compliquait de plus en plus la tâche étaient les secousses répliques qui étrangement ne faiblissaient pas et se succédaient à une cadence inquiétante.

Dans l'une des directives qu'il transmit à un chef d'équipe, il y avait cette phrase code "Quand la lune tournera au rouge, il faut plonger!"

A l'intérieur de la Palestine occupée et à l'extérieur, tout le monde s'efforcaient d'évacuer le plus possible de civiles encore en vie avec les blessées, quant au morts ils étaient enterrés sur place dans des fosses communes, il n y avait que du côté des sionistes qu'une opération d'identification était mené activement.

En état d'alerte maximale, Tsahal étaient sur tous les fronts et une grande question planait au-dessus de tous: "Dans l'état actuel des choses, est-ce que les sionsites étaient capables d'affronter une attaque d'envergure ?"

Sans premier ministre et un nommé à l'intérim en catastrophe, Menahem Bergin avait un souci majeur "Comment déplacer plus de deux millions de personnes en 48h et les réinstaller dans des régions saines avec des radiations portés par des vents violents de plus de 120km/l'heure et des bombes qui menacent de décimer tout le pays d'un seul coup ?