قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الثلاثاء, 07 تشرين1/أكتوير 2014 07:36

Damas, Syrie, Tuna Tunald 7

كتبه  Afaf Aniba
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En moins d’une semaine, la procédure religieuse musulmane fut accomplie et l’acte civil de mariage fut signé à l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Londres, spécifiant que Eila Nahar poursuivait son engagement politique. Il n’y eut aucune célébration au regard du deuil de Eila Nahar et un matin, redevenue ambassadeur des Usa en Syrie, Anthony Freeman passa avec sa voiture officielle prendre Eila chez la comtesse Fabiola Falin, cette dernière au comble du bonheur pour sa protégée, étreignit la jeune femme avant de la laisser rejoindre son mari Anthony Michael Freeman.

Celui-ci pour la première fois de sa vie, en s’approchant de sa femme Eila, lui tendit la main et elle lui donna la sienne, il la serra tendrement « Enfin Ya Allah, Alahmdullillah » se dit-il.

Glissant à l’intérieur de la voiture, le jeune marié fit tout son possible pour maîtriser son désir de serrer contre lui la jeune mariée, se contentant de la tenir tendrement par la main.

Il lui chuchota à l’oreille :

-Eila, sais-tu que je n’ai même pas osé rêver de cet instant tant j’avais peur de souffrir de m’éveiller du rêve et de ne pas t’avoir près de moi pour toujours.

Les yeux sombres en velours de la jeune femme lui sourirent d’un sourire enivrant :

-Eh bien ! Je suis là réellement maintenant avec toi et pour toujours inshâallah.

Arrivé à l’aéroport de Heathrow, le couple descendit pour prendre un vol spécial en direction de Washington.

A Washington, Angela Clivert envoyait ses félicitations pour le mariage de son ambassadeur en Syrie, elle n’en revenait pas, le matin, elle en avait parlé à son mari Bill Clivert :

-Je suis sans voix Bill ! le plus brillant et le plus jeune de mes diplomates me revient marié avec la plus délicieuse jeune femme Africaine que je connaisse, c’est incroyable le destin est magnifique avec certains d’entre nous.

Bill avait sourit :

-Le destin a été magnifique avec nous deux, n’est-ce pas en l’occasion ?

La secrétaire d’état Américaine s’était mise à rire puis elle avait repris :

-Prie avec moi pour que le plan d’Anthony sur la Syrie tienne la route cette fois parce que sincèrement je suis à bout dans ce dossier.

Dans l’avion Boeing, l’ambassadeur Anthony Freeman et madame Eila Nahar Freeman étaient assis en premier classe dans une partie isolée de l’appareil.

Se penchant vers sa jeune femme, Anthony fit :

-Je t’en prie Eila pardonne moi, dés notre arrivée notre chauffeur personnel nous conduiras à mon manoir à dix kilomètres de Washington, manoir que j’ai hérité de mon grand-père paternel et je devrais te laisser pendant au moins trois heures car je dois repartir à mon travail et avoir une réunion urgente avec ma patronne, nous avons enfin un plan de sauvetage et de sortie pour la Syrie.

La jeune femme avait acquiesce sans dire un mot :

-Eila, regarde moi, lui dit son mari.

La jeune femme leva ses beaux yeux sur Freeman :

-Ecoute, je te promets que durant le week-end, je t’emmènerai à notre chalet aux Adirondacks et là-bas on passera d’inoubliables moments. Déclara le jeune homme.

Eila Nahar Freeman eut un sourire rayonnant :

-Ecoute moi à ton tour Michael, tu es mon paradis, il suffit que je sois avec toi. Lui dit-elle le ton menu.

Prenant sa main, il l’embrassa. Très embarrassée et de peur d’être vue, Eila la retira rapidement.

« Michael, je t’en prie nous sommes en public, patiente ce n’est plus qu’une question d’heure. » Lui murmura t-elle.

Une fois arrivés, le chauffeur de Anthony Freeman, porta les bagages avec les portiers de l’aéroport Allan Dulles, le trajet fut court, sur le perron de la magnifique propriété se tenait la gouvernante Afro-Américaine Hajja Rafika, une dame d’une cinquantaine d’années.

Elle reçut avec un grand sourire, la nouvelle mariée :

-Bienvenue à madame Freeman, ma sœur en Islam et de par les racines Africaines, Annonça t-elle.

La jeune mariée eut un geste touchant au lieu d’échanger une poignée de main avec elle, la serra contre elle :

-Mon fils ! Ta femme est d’une beauté extraordinaire, que Allah vous garde tous deux. Reprit la gouvernante.

Heureux, Anthony Freeman  fit :

-Tu dois te demander hajja Rafiqa comment cela se fait que Eila étant Africaine est blanche de peau, eh bien ! juste parce que ses ancêtres sont d’origines Canéens et ils ont immigrés depuis cinq siècles en Afrique.

En entrant dans le grand hall en verre, la lumière qui se déversait à travers un dôme tomba sur le couple, les domestiques en rang debout eurent le souffle coupé à la vue de leurs maîtres, Hajja Rafika très émue, se dit «  On aurait dit deux anges descendus du septième ciel ! »

Montant l’escalier d’honneur, ayant congédié aimablement le personnel du manoir,  le couple se dirigea vers la chambre nuptiale.

En pénétrant à l’intérieur, tous deux poussèrent un Oh ! émerveillé, des bouquets de roses rouges remplissaient la vaste pièce, lisant une carte de visite :

-C’est un cadeau de la première dame annonça le jeune mari. Eila debout à quelques pas de lui, se retint à temps d’enlever son voile, Michael devait repartir au department of state et elle ne devait pas le distraire de sa mission.

S’étant tournés vers sa femme, Michael la regardait si intensément, qu’elle baissa les yeux. Elle était là à sa portée, de la laisser seule, cela lui coûtait mais ce n’était que pour quelque heures et à nouveau ils seraient réunis.  

-Michael, tu vas être très gentil de te changer pour ta réunion, tu dois prendre quelque chose de léger et crois moi, je t’attendrais sur des charbons ardents. Déclara la jeune femme.

Il se mit à rire :

-C’est incroyable ! Nous sommes mariés depuis quatre jours et jusqu’ici nous n’avons pas eu encore notre nuit de noces !

Elle joignit son rire discret au sien.

Regardant sa montre, il se mit à enlever sa veste, tout en allant à une armoire murale, il l’ouvrit d’un geste preste, prit un costume, il passa à la salle de bain, en ressortant, frais et en habit neuf, il trouva qu’une domestique avait monté un petit déjeuner consistant pour eux deux. Il fit remarquer :

-Tout le personnel est féminin donc tu peux te mouvoir à l’intérieur du manoir sans voile Eila.

-Bien, fit-elle simplement, il voulait prolonger ses moments avec elle, elle l’accompagna jusqu’à la porte d’entrée :

-Chérie ! Allah sait que je suis vraiment désolé, lui dit-il.

Elle lui sourit :

-Je suis tranquille, on se reverra inshâallah à la fin de la matinée, Michael vas-y maintenant.

-Je ferais tout pour être ici à onze heures Eila, lui dit-il. Prenant sa main délicate, il l’embrassa tendrement puis il sortit.

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