قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

image-home

لنكتب أحرفا من النور،quot لنستخرج كنوزا من المعرفة و الإبداع و العلم و الأفكار

الأديبــــة عفــــاف عنيبـــة

السيـــرة الذاتيـــةالسيـــرة الذاتيـــة

أخبـــار ونشـــاطـــاتأخبـــار ونشـــاطـــات 

اصــــدارات الكـــــاتبــةاصــــدارات الكـــــاتبــة

تـــواصـــل معنــــــاتـــواصـــل معنــــــا


تابعنا على شبـكات التواصـل الاجتماعيـة

 twitterlinkedinflickrfacebook   googleplus  


إبحـث في الموقـع ...

  1. أحدث التعليــقات
  2. الأكثــر تعليقا

ألبــــوم الصــــور

e12988e3c24d1d14f82d448fcde4aff2 

مواقــع مفيـــدة

rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الأحد, 24 حزيران/يونيو 2012 18:09

Aldjazaïr Frankfurt Washington V

كتبه 
قيم الموضوع
(0 أصوات)

Voir les collines boisés cernés par une bretelle de route et suivre les phares de voitures, dont les conducteurs Allemands s'étaient réveillés tôt cinq heure et demi du matin pour rallier leurs postes m’affermit dans ma conviction : les Allemands sont le peuple Européen le plus endurant après les Russes et ils sont les maîtres de la discipline. Cette qualité rare et précieuse à tout peuple qui tend à exceller dans la civilisation.Je les compare souvent au Phoenix qui ressuscite à chaque fois plus fort, plus endurci que jamais.

Peu de temps après, notre avion se posait sur l’une des pistes de l’aéroport international de Frankfurt. En débouchant dans l’un des nombreux couloirs un employé de l’aéroport, nous indiqua la direction à prendre et la lettre alphabet du train aérien à prendre. Je me séparai de la voyageuse d’Alicante en lui souhaitant une fin d’étude réussi et j’avais suivi la délégation du programme enseignement et éducation.

L’un des deux messieurs était un professeur d’anglais, en grimpant à l’étage d’où partait de part et d’autre les trains conduisant les passagers vers les zones de transit adéquates, le professeur d’anglais hésita :

-Nous devons redescendre et nous assurer que c’est bien ce train que nous devons prendre.

 

Pour ma part j’étais sûre que nous n’avons pas fait d’erreur mais devant l’insistance du monsieur, moi et son compagnon nous cédâmes et on alla s’assurer auprès d’un autre employé de l’aéroport, un étage au-dessous.

-Tout à fait, la porte B à votre droite, c’est bien le train qui vous emmènera à votre salle d’attente, nous confirma ce dernier.

Une fois le train pris,  moins de dix minutes plus tard, on arrivaient dans un endroit où on devaient attendre que les n° de notre vol et de notre salle de départ soient affichés sur le tableau électronique, le décor ambiant était chaleureux et les ornements de Noël nous rappelait que nous étions sur une terre Chrétienne.          

 Je me séparais momentanément du groupe des deux hommes et j’allais acheter une carte téléphonique internationale pour appeler la maison et leur apprendre que j’étais arrivé à Frankfurt.

Oubliant le décalage horaire, j’avais réveillée ma famille pour apprendre qu’il était à peine huit heures du matin à Aldjazaïr !

Revenant m’asseoir, j’observai le mouvement incessant des voyageurs, ouvrant un livre je me plongeais dans sa lecture mais peu à peu mes pensées revenaient aux derniers jours qui avaient suivis mon départ.

 

Allah a voulu dans son incommensurable sagesse coïncidait mon voyage pour l’Amérique avec la parution de mon premier livre en Arabe « Kouwat Nour, préoccupation d’une femme musulmane » aux éditions Samar. Mon éditrice ma chère amie et sœur Noura Bouzida m’avait annoncée que le jour du vendredi ( la veille de mon départ ) mon livre sera exposé au salon du livre international aux Pins Maritimes et donc je devais répondre présente pour la séance dédicace aux lecteurs.

Auparavant, je devais me préparer pour l’entrevue avec monsieur le consul général des Usa, durant les jours qui précédaient  mon rendez-vous au consulat Américain, logé sur le site de l’ambassade Américaine, j’avais moult choses à faire et commissions à régler. Choisir deux valises une petite et une grande, prendre des photos aux mesures exigés par le consulat Américain, annoncer la nouvelle de la publication de mon premier livre aux proches et amies et les inviter à venir au salon international pour leur dédicacer « Kouwat Nour ».

Bref, quand le jour fatidique de l’entrevue arriva, j’allais de bonne heure me présenter au consulat avec le sentiment de n’avoir rien à perdre dans le cas où le visa me sera refusé !

La demoiselle préposée à l’accueil des visiteurs internationaux du gouvernement Américain, me fit bon accueil. Elle me conduisit au consulat que je connaissais d’ailleurs, me présentant un formulaire à remplir, j’eu l’occasion d’apprendre le nom de la responsable Américaine au department of state chargé de nous accueillir à Washington et dont le programme de interfaith dialogue relevait de ses fonctions. Etonnée, je découvris que c’était une Arabe naturalisée Américaine.

Attendant mon tour, je commencer à me pénétrer de l’idée que peut-être au sortir du consulat j’allais être vraiment partante pour les Etats-Unis d’Amérique. Il est vrai que de temps en temps, je relevais la tête et j’accordais de l’attention aux autres candidats venus passer l’examen de l’interview du consul général. Mon voisin, son tour devait venir avant moi, était l’incarnation de l’assurance. Tandis que moi, je pensais à mon visa Iranien et j’essayais de deviner les questions pièges de monsieur le consul général, mais très vite je chassais de mon esprit cette appréhension car partir ou non en vérité ne signifiait rien pour moi.

Allah m’était témoin, dés le début je m’étais opposé à participer à ce genre de programme et c’est presque forcé que j’avais donné mon accords. Et maintenant que tout le voyage reposait sur le oui ou non du consul général, n’avait vraiment aucune importance, bizarrement je m’étais fait à l’idée que dans le cas d’un refus ce serait réellement un grand soulagement ! 

   

 
قراءة 2698 مرات آخر تعديل على الثلاثاء, 06 تشرين2/نوفمبر 2018 14:45
عفــــاف عنيبـــــة

أديبة روائية إسلامية أحرر ركنا قارا في الصحافة المستقلة منذ 1994 في الصحف التالية: أسبوعية الوجه الآخر، الحقيقة، العالم السياسي، كواليس و أخيرا البصائر لسان "حال جمعية العلماء المسلمين الجزائريين."

أضف تعليق


كود امني
تحديث