قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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الأحد, 27 تشرين1/أكتوير 2013 09:31

La bataille d’El-Qodss

كتبه  Afaf Aniba
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Ecrit Avril 2003

Ce long paragraphe est extrait du 1 chapitre du roman "La Bataille d'El-Qodss"

Anthony Revins en pénétrant dans le bureau du négociateur principal John Harrod entendit ce dernier se dire à haute voix, le ton mécontent :

- Allez au diable !

Voyant son adjoint se profiler devant lui, Harrod esquissa la grimace d'un sourire:

-Que se passet-il John? Fit ce dernier.

- Il se passe que j'étais il y a à peine quelques instants en communication avec le premier ministre Israélien Ezra Shabon, et imagine ce qu'il me répond quand je lui conseille sagement de reconnaître le statut international de Jérusalem comme le moindre mal qui pouvait arriver à leur éternelle capitale, ainsi les Palestiniens ne l'auront pas eux aussi comme capitale. Shabon me dit insolemment qu'il n'est pas question pour eux les Israéliens de négocier le statut de Jérusalem qui doit rester Juive Israélienne et que bientôt il devrait donner le feu vert au groupe religieux extrémiste "L ES DISCIPLES DU TEMPLE" pour qu'ils commencent les travaux nécessaire dans la principale salle de prière de la Mosquée El Aqsâa pour déterrer leur Temple.

-Mais c'est une violation criarde des Accords de 2025 de Washington ! S'exclama Revins scandalisé et puis s'il va donner ce satané feu vert, il cherche noise aux Palestiniens surtout les organisations politiques et militaires islamiques qui nous ont bien prévenus au lendemain de la signature des Accords que dans le cas où la partie Israélienne se défilera une fois de plus dans son application du contenu de ces accords, ce sera à nouveau la guerre entre eux et les Israéliens.

-Eh bien ! c'est justement ce que j'appréhende. Fit le ton sombre Harrod.    

- Nous devrions réagir ne pas laisser une fois de plus les Israéliens nous mener en bateau, il y va de notre crédibilité, tu te rends compte c'est la deuxième fois qu'ils nous font le coup, va-t-on les laisser faire cette fois-ci aussi?

-Tout dépendra de la volonté du président et du Congrès, tu sais très bien que le lobby Israélien est si bien ancré dans les coulisses de notre pouvoir, qu'il nous est pratiquement impossible d'entreprendre quoi que ce soit dans tout dossier relatif au monde Musulman sans au préalable avoir le Ok de l’Aipac.

-Est-ce que tu as prévenu le président des derniers développements ?

-Oui, je m'attends à être convoqué d'un moment à l'autre avec le secrétaire d'état à la Maison-Blanche.

Le téléphone se manifesta à cet instant, décrochant, le visage grave Harrod écouta son interlocuteur pendant un instant, puis se tournant légèrement vers le fax qui commençait à crépiter, il fit simplement :

-Bien reçu.

Prenant le feuillet de l'appareil, il le lut attentivement puis sans dire un mot il le donna à son adjoint. Celui-ci parcourut le message, il s'agissait d'un ultimatum envoyé par les huit partis politiques et militaires Islamiques Palestiniens dans lequel ils annonçaient leurs intentions de déclarer la guerre à l'état d'Israël si dans les 48 h le gouvernement Israélien ne commençait pas les pourparlers sur la division de Jérusalem en deux capitales l'une pour Israël, l'autre pour la Palestine. Le téléphone résonna pour la seconde fois en présence de Revins, Harrod fut bref en y répondant, reposant le récepteur, il se leva :

-Allons-y, nous sommes attendu au bureau ovale, apporte avec toi le fax.

  

                                                                                                                                                                                                                                                             

A la Maison Blanche le président indépendant Patrick Ayron arpentait le bureau ovale en écoutant ses deux conseillers aux affaires du Moyen-Orient, le président du conseil de la sécurité nationale David Pludge se tenait silencieux, c'était un de ces sionistes Américains qui avaient ces idées bien arrêtés sur ce qu'il appeler par dérision les drôles d'accords de 2025. En voyant apparaître le secrétaire d'état Richard Burns et le négociateur principal avec Anthony Revins, Ayron se détendit quelque peu. Il ne tarda pas à s'assombrir en lisant le fax des huit IPP*:

-Mon Dieu qu'allons nous faire à présent ? S'écria t-il.

-Pourquoi ne pas inviter l'ambassadeur Eli Ben Azim a nous rejoindre ? Fit l'un des conseillers   Peter Daylon.

-Non ! nous devrons arrêter la décision Américaine loin de toute présence de l'un des deux concernés par les Accords. Répondit fermement Harrod.

Pludge lança un coup d'œil glacé au négociateur principal:

-Soyons d'accord sur un point, une reprise de la guerre en Israël peut engendrer un véritable conflit et faire basculer toute la région dans une de ces situations catastrophiques où nous tous y perdrons beaucoup. Fit le ton calme le secrétaire d'état Richard Burns.

S'étant résolu à s'asseoir, le président approuva cette déclaration de Burns:

-En effet, est-ce que Shabon sait que cette fois l'équilibre des forces ne sera pas en sa faveur s'il cherche l'affrontement avec les Palestiniens. Désormais, il y a un état Arabe du front dont le régime par la force d'une révolution populaire a changé radicalement ses positions vis-à-vis des Israéliens son président élu a clairement exprimé son intention de soutenir effectivement les Palestiniens si les Israéliens vont tergiverser sur le statut de Jérusalem ? Pourquoi nos alliés font-ils preuve d'un aussi grave manque de discernement ? Fit le ton excédé le président.

-Moi et Harrod depuis hier soir nous avons tenté de discuter raisonnablement successivement avec presque tous les grands responsables politiques Israéliens, en leur faisant entrevoir le danger qui les guette à court terme s'ils vont revenir sur leurs engagements sur Jérusalem, en pure perte. Samuel Eton conseiller du président Israélien a même osé me dire que le gouvernement Shabon en s'engageant en 2025 sur la ville sainte n'avait en secret aucune intention d'honorer son engagement ! Dit le ton las le secrétaire d'état.

Le président ouvrit grand les yeux à ses paroles :

-Qu'est ce que tu dis ? Donc dés le début Shabon et les Israéliens nous jouaient un tour …

David Pludge intervint le ton impatient :

-Savez-vous monsieur et vous autres que vous êtes en train de parler de nos plus sûrs et de nos plus dévoués alliés?

Le président répliqua froidement :

-Nous le savons David, mais comment peux-tu expliquer ce qu'a dit le conseiller Samuel Eton à Burns?

Les regards se tournèrent vers Pludge, loin de se sentir embarrassé celui-ci fit le ton impassible:

-Je n'étais pas à ce poste en 2025 mais je savais néanmoins une chose au moment où sous les pressions des pays Arabes et Européens vous avez tout fait pour persuader les Israéliens de promettre de débattre avec les Palestiniens du statut de Jérusalem et même si le gouvernement Aamir allait accepter, il ne passerait jamais aux actes pour la simple raison que l'administration Américaine a superbement ignoré un fait d'une importance capitale aux yeux des Israéliens. Reconnaître le caractère international de la ville ou céder une partie d'elle aux Palestiniens équivaudrait ni plus ni moins à la fin de l'état d'Israël. Une fois en possession de Jérusalem-est, les extrémistes islamistes et arabes Palestiniens, comprendront qu'ils pourront avoir Palestine 48 et c'est cela que ne permettra jamais Israël.

Un silence tomba sur les hommes réunis dans la grande pièce bleue et blanche.

-Est-ce à dire qu'il n'y a point de porte de sortie? Fit le président le front barré par un pli soucieux.

-Si il y'en a.Fit Pludge le ton bref.

-On t'écoute.

-Puisque la position du gouvernement Shabon est inébranlable, nous devrions bien savoir manœuvrer. Aux Palestiniens du gouvernement présent nous devrions leur faire comprendre que les choses ne sont pas aussi simple, qu'Israël ne peut pas trancher avec cette facilité et qu'il leur faudrait se préparer à de longues négociations où bien sûr le résultat n'est pas garanti d'avance, que notre administration fera en sorte que les Palestiniens puissent avoir pour moindre satisfaction un contrôle autonome sur une partie de la ville sans pour être tout à fait indépendant de l'autorité Israélienne. Nous devrions pouvoir convaincre les Palestiniens après cela de mettre un frein aux menaces des huit IPP et il me semble que légitimement nous pourrions prétendre à une paix précaire dans la région mais ce sera mieux que rien pour nos alliés Israéliens et nous.

Les deux conseillers avaient notés les grandes lignes de cette esquisse, Burns avait écouté en affichant un air neutre. Le président quant à lui était tout oreille, cependant quelque chose dans son attitude donnait l'impression que le projet de Pludge ne l'emballait pas. Harrod le sourcil froncé, imaginait la réaction des négociateurs Palestiniens à pareil plan. Soudain se retournant brusquement, Ayron s'adressa pour la première fois à Anthony Revins qui jusque là avait gardé le silence, préférant suivre la discussion et ne s'investir dedans qu'en dernier ressort.

-J'aimerais vous entendre Anthony, qu'avez à dire du plan de Pludge? S'enquit le président.

-Son plan n'est pas la bonne solution.

Pludge se renfrogna à la réponse de Revins:

-Expliquez-vous ? Demanda encore Ayron.

-Je vais parler franchement de plusieurs faits qui mettent à nu nos alliés, mais auparavant je dois vous faire remarquer ceci : en tant qu'Américain nous sommes en droit de s'attendre de nos alliés Israéliens à ce qu'ils traitent avec nous honnêtement, libre à eux de mentir, de ruser, avec les Palestiniens et les Arabes en général mais avec nous à qui ils doivent beaucoup, ils devraient être francs et sincères.

Pludge voulut protester, le président l'en empêcha en disant :

-Revins a raison, écoutons le jusqu'au bout s'il vous plait.

Ainsi encouragé par Ayron, Revins le ton ferme reprit:

-Les Palestiniens de l'an 2032 ne sont pas du tout les Palestiniens que Sharon a mâté injustement en 2002, ceux d'aujourd'hui sont à la tête d'un état qui tient tant bien que mal debout, ce sont des palestiniens toutes tendances politiques confondus qui ont menés la vie dure pendant dix-neuf années de guerre intermittente aux Israéliens. Aujourd'hui ces mêmes Palestiniens sont soutenus par deux états Islamiques l'un situé sur la frontière avec Israël, l'autre est présent dans la région grâce à un parti politique et militaire Libanais au nord de la frontière avec l'état Israélien, ces deux états je le rappelle n'ont toujours pas reconnus l'existence d'Israël, les huit IPP sont un poids politique non négligeable sur la scène politique Palestinienne. Pour eux et l'ensemble du peuple Palestinien et le un milliard de musulman et demi de par le monde, Jérusalem est une ville sainte de l'Islam, elle a vécu sous le règne de l'Islam pendant milles ans, en 1967 cette ville sainte a été occupé par les Israéliens dont le plan de partage de 29 novembre 1947 ne leur a aucunement accordé le droit de contrôle sur Jérusalem.

Il marqua une pause puis il dit:

- Malgré tout le gouvernement Golda Meir passa outre et occupa Jérusalem et la Cisjordanie et la bande de Gaza, nous avons fermés les yeux nous autres Américains. Parce que comme toujours nos intérêts passaient avant la légalité Internationale, depuis septembre 2001 nous nous sommes investis un peu plus aux côtés de nos alliés Israéliens, nous avons largement payer le prix de notre soutien totale. Le monde musulman qui jusque là avaient des gouvernements qui marchaient aveuglément dans notre trace se sont vus renversés depuis par des peuples musulmans décidés à en découdre définitivement avec leurs régimes dictatoriaux, résultat : l'administration Américaine le vit quotidiennement avec ses contacts quotidiens avec les régimes arabes et musulmans dont quelques uns nous sont devenus franchement hostiles, d'autres qui nous sont demeurés fidèles sont devenus plus récalcitrants et cela parce qu' ils sont tenus par la peur d'être renversés à leur tour, quant aux communautés de musulmans à travers le monde et spécialement aux USA ils exercent sur nous de plus en plus des pressions considérables. Les musulmans Américains dans notre présent ne sont plus cette petite communauté désarmé sans poids politique ni économique au milieu de la société Américaine, d'il y a un demi siècle. Au lendemain du 11 septembre 2001 ils se faisaient tout petits, maintenant ils comptent et grandement dans notre système leurs investissements en dollar et leur seule nombre 24 millions de musulmans font d'eux une force politique avec lequel nous devons compter. Si nous appliquons le plan de Pludge nous n'aurons pas à affronter nos alliés du monde Arabe et musulman sans compter leurs éventuels alliés, nous aurons à affronter au congrès 59 sénateurs qui ont été élus grâce à l'argent du contribuable musulman Américain.

Un silence de plomb tomba sur l'assistance, Patrick Ayron ressentit pour la première fois le poids de la responsabilité, tout développement négatif au Moyen-Orient aurait des répercussions terrible sur les Etats-Unis. En 2001, le gouvernement Bush avait fait compromettre dangereusement la politique étrangère Américaine en la faisant pencher en faveur d'Israël d'une manière tout azimut, pour cause la guerre déclarée contre le terrorisme et qui était vu par Bush pendant les huit années de son mandat à la Maison-blanche comme nourrit par une large frange de hors la loi Arabe et Musulman, n'avait pas trouvé meilleur allié que les Israéliens qui voulaient en finir et une fois pour toute avec le soi-disant terrorisme des Palestiniens. Ayron était un de ces Américains d'origine Irlandaise qui savait faire la part des choses entre la résistance armée d'une population Palestinienne acculé à défendre sa vie et sa terre et une violence criminelle et terroriste mené par des organisations du crime comme les cartels de drogue et les clans de la Maffia politico-financière de quelques pays du monde dernier.

Relevant la tête, il rencontra le regard de Revins:

-Vous n'avez pas encore tout dit. Lui dit le président.

L'autre acquisça :

-Eh bien ! Continuez.

Pludge intervint le ton sec:

-Pardonnez-moi monsieur mais ce n'est pas à Revins de dessiner les lignes de notre politique envers la suite des événements en Israël, il est en train de dépasser ses prérogatives et de se mêler de mon travail.

Ayron dit le ton égal:

-On vous a écouté, ce que vous nous avez proposé, ne nous satisfait que dans la mesure du un quart, et c'est mon droit d'accorder de l'intention à l'un de nos meilleurs éléments dans l'équipe du négociateur principal, est-ce que vous êtes d'accord avec moi John?

Ainsi interpellé, Harrod n'hésita pas une seconde pour approuver le président :

-Alors Anthony?

-Je suis convaincu d'un fait d'une importance capitale.

-Lequel? Fit le secrétaire d'état Burns.

-Si nous nous mettons d'accord sur la partie qui a fondamentalement tort de se défiler à ce stade du processus de paix, nous saurons ensuite quoi entreprendre au juste.

Peter Daylon un conseiller qui n'avait qu'un souci avoir la bénédiction de l'Aipac pour postuler à un poste de responsabilité dans les prochains mois qui suivent les élections présidentielles dans moins de six mois, sentit que le vent aller tourner en cet instant contre les Israéliens, choisit de placer son mot :

- Montrer du doigt le gouvernement Ezra Shabon ne résoudra rien du tout.

-Si, et je vais vous dire comment, en tant qu' administration sortante et puisque le vice-président ne va pas se présenter candidat, sa santé ne le lui permet pas, nous avons largement de l'espace pour manoeuvrer à notre guise.

Burns l'appuya:

-En effet.

-Donc. Poursuivit impertubable Revins. Nous pouvons tenter de contrer le gouvernement Israélien en lui faisant comprendre clairement que si les huit IPP montrent un quelconque signe sérieux de renouer avec la guerre contre Israël, l'administration Ayron arrêtera toute exportation d'armes pour Israël et l'aide vers Israël sera comme prévue par le congrès réduite de plus de la moitié et le reste sera gelé, en attendant que Shabon et son gouvernement entendent la voix de la raison et accepte le statut international de Jérusalem.

-Cela ne tiendra pas. Fit le ton furieux Pludge. En quoi cela nous regarde le statut final de Jérusalem, pour tenter une politique aussi déloyale envers notre allié sioniste?

Revins ne répondit pas, il en laissa le soin au président qui eut un drôle de sourire à l'adresse de son conseiller à la sécurité nationale:

- Je vous félicite David.

Surpris, l'intéressé fit :

- De quoi?

- Vous venez de nous donner la solution.

- La solution de quoi ? Fit Pludge en masquant du mieux qu'il pouvait la soudaine irritation qui s'emparait de lui.

Consultant du regard son secrétaire d'état et le négociateur principal Harrod le président fit d'un ton officiel :

- Vous venez de nous mettre sur la bonne voie, en nous rappelant à juste titre que Jérusalem est un souci exclusivement Israélien. Eh bien! Il incombe à Shabon de le résoudre indépendamment de nous, mon administration n'interviendra en faveur d'aucun des belligérants, je vous le répète, les Israéliens cette fois devront se défendre seuls puisque nos conseils et nos recommandations ne valent rien pour eux.

Ce fut Peter Daylon qui réagit le premier:

-Ce serait encourager les extrémistes Palestiniens et des pays arabes alentours à en découdre tranquillement avec les Israéliens, comment va-t-on assister au massacre du peuple Juif Israélien sans rien faire ?

- Chacun est responsable de sa politique, ne voulant pas respecter ses engagements le gouvernement Shabon doit en payer le prix, j'ai personnellement plus qu'assez du processus de paix Israélo-Palestinien, nous ne pouvons rester indéfiniment lié à ce traquenard qui perdure depuis de 80 ans, riposta le ton définitif Patrick Ayron.

                                              

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